Cette directive permet d'effectuer une optimisation de la socket
    d'écoute d'un type de protocole en fonction du système
    d'exploitation. Le but premier est de faire en sorte que le noyau
    n'envoie pas de socket au processus du serveur jusqu'à ce que
    des données soient reçues, ou qu'une requête HTTP complète soit mise
    en tampon. Seuls les Filtres d'acceptation de FreeBSD, le filtre plus
    primitif TCP_DEFER_ACCEPT sous Linux, et la version
    optimisée d'AcceptEx() de Windows sont actuellement supportés.
L'utilisation de l'argument none va désactiver tout
    filtre d'acceptation pour ce protocole. Ceci s'avère utile pour les
    protocoles qui nécessitent l'envoi de données par le serveur en
    premier, comme ftp: ou nntp:
Les noms de protocoles par défaut sont https pour le
    port 443 et http pour tous les autres ports. Pour
    spécifier un autre protocole à utiliser avec un port en écoute,
    ajoutez l'argument protocol à la directive 
Sous FreeBSD, les valeurs par défaut sont :
Le filtre d'acceptation httpready met en tampon des
    requêtes HTTP entières au niveau du noyau. Quand une requête
    entière a été reçue, le noyau l'envoie au serveur. Voir la page de
    manuel de accf_http(9) pour plus de détails. Comme les requêtes
    HTTPS sont chiffrées, celles-ci n'autorisent que le filtre accf_data(9).
Sous Linux, les valeurs par défaut sont :
Le filtre TCP_DEFER_ACCEPT de Linux ne supporte pas
    la mise en tampon des requêtes http. Toute valeur autre que
    none active le filtre TCP_DEFER_ACCEPT
    pour ce protocole. Pour plus de détails, voir la page de
    manuel Linux de tcp(7).
Sous Windows, les valeurs par défaut sont :
Le module MPM pour Windows mpm_winnt utilise la directive
    AcceptFilter comme commutateur de l'API AcceptEx(), et ne supporte
    pas la mise en tampon du protocole http. connect
    utilise l'API AcceptEx(), extrait aussi les adresses réseau finales,
    mais à l'instar de none, la valeur connect
    n'attend pas la transmission des données initiales.
Sous Windows, none utilise accept() au lieu
    d'AcceptEx(), et ne recycle pas les sockets entre les connexions.
    Ceci s'avère utile pour les interfaces réseau dont le pilote est
    défectueux, ainsi que pour certains fournisseurs de réseau comme les
    pilotes vpn, ou les filtres anti-spam, anti-virus ou
    anti-spyware.
data (Windows)Jusqu'à la version 2.4.23, le filtre d'acceptation data
      attendait que des données aient été transmises et que le tampon de données
      initial et l'adresse réseau finale aient été déterminés par l'invocation
      AcceptEx(). Cette implémentation étant vulnérable à une attaque de type
      denial of service, elle a été désactivée.
La version actuelle de httpd prend par défaut le filtre
      connect sous Windows, et reprendra la valeur
      data si data est spécifié. Il est fortement
      conseillé aux utilisateurs des versions plus anciennes de définir
      explicitement le filtre connect pour leurs AcceptFilter
      comme indiqué plus haut.
Cette directive permet de définir si les requêtes contenant des
    informations sous forme d'un nom de chemin suivant le nom d'un
    fichier réel (ou un fichier qui n'existe pas dans un répertoire qui
    existe) doivent être acceptées ou rejetées. Les scripts peuvent
    accéder à cette information via la variable d'environnement
    PATH_INFO.
Supposons par exemple que /test/ pointe vers un
    répertoire qui ne contient que le fichier here.html.
    Les requêtes pour /test/here.html/more et
    /test/nothere.html/more vont affecter la valeur
    /more à la variable d'environnement
    PATH_INFO.
L'argument de la directive 
Off/test/here.html/more dans l'exemple ci-dessus
    renverra une erreur "404 NOT FOUND".On/test/here.html/more, la requête
    sera acceptée si /test/here.html correspond à un nom de
    fichier valide.DefaultPATH_INFO. Les gestionnaires qui
    servent des scripts, commecgi-script et isapi-handler, acceptent en général par
    défaut les requêtes avec PATH_INFO.Le but premier de la directive AcceptPathInfo est de
    vous permettre de remplacer le choix du gestionnaire d'accepter ou
    de rejeter PATH_INFO. Ce remplacement est nécessaire
    par exemple, lorsque vous utilisez un filtre, comme INCLUDES, pour générer un contenu basé
    sur PATH_INFO. Le gestionnaire de base va en général
    rejeter la requête, et vous pouvez utiliser la configuration
    suivante pour utiliser un tel script :
Au cours du traitement d'une requête, le serveur recherche le premier fichier de configuration existant à partir de la liste de noms dans chaque répertoire composant le chemin du document, à partir du moment où les fichiers de configuration distribués sont activés pour ce répertoire. Par exemple :
avant de renvoyer le document
    /usr/local/web/index.html, le serveur va rechercher les
    fichiers /.acl, /usr/.acl,
    /usr/local/.acl et /usr/local/web/.acl
    pour y lire d'éventuelles directives, à moins quelles n'aient été
    désactivées avec
text/plain ou
text/htmlCette directive spécifie une valeur par défaut pour le paramètre
    jeu de caractères du type de média (le nom d'un codage de
    caractères) à ajouter à une réponse, si et seulement si le type de
    contenu de la réponse est soit text/plain, soit
    text/html. Ceci va remplacer
    tout jeu de caractères spécifié dans le corps de la réponse via un
    élément META, bien que cet effet dépende en fait
    souvent de la configuration du client de l'utilisateur. La
    définition de AddDefaultCharset Off désactive cette
    fonctionnalité. AddDefaultCharset On ajoute un jeu de
    caractères par défaut de iso-8859-1. Toute autre valeur
    peut être définie via le paramètre jeu de caractères, qui
    doit appartenir à la liste des valeurs de
    jeux de caractères enregistrés par l'IANA à utiliser dans les
    types de média Internet (types MIME).
    Par exemple :
La directive 
La directive %2F pour / et même %5C pour
    \ sur les systèmes concernés).
Avec la valeur par défaut, Off, de telles URLs sont
    refusées et provoquent le renvoi d'une erreur 404 (Not found).
Avec la valeur On, ces URLs sont acceptées, et les
    slashes encodés sont décodés comme tout autre caractère codé.
Avec la valeur NoDecode, ces URLs sont acceptées,
    mais les slashes codés ne sont pas décodés et laissés dans leur état
    codé.
Définir On est surtout utile en association avec
    PATH_INFO.
Si le codage des slashes dans la partie chemin est nécessaire,
      l'utilisation de l'option NoDecode est fortement
      recommandée par mesure de sécurité. Permettre le décodage des
      slashes pourrait éventuellement induire l'autorisation de chemins
      non sûrs.
.htaccessLorsque le serveur trouve un fichier .htaccess (dont
    le nom est défini par la directive 
Lorsque cette directive et la directive None, les
    fichiers .htaccess sont totalement
    ignorés. Dans ce cas, le serveur n'essaiera même pas de lire les
    fichiers .htaccess du système de fichiers.
Lorsque cette directive est définie à All, toute
    directive valable dans le Contexte .htaccess sera
    autorisée dans les fichiers .htaccess.
L'argument type directive peut contenir les groupements de directives suivants :
FancyIndexing,
      Notez qu'une erreur de syntaxe dans une directive valide causera toujours une Internal Server Error.
Bien que la liste des options disponibles dans les fichiers
      .htaccess puisse être limitée par cette directive, tant qu'un
      directive 
Exemple :
Dans l'exemple ci-dessus, toutes les directives qui ne font
    partie ni du groupe AuthConfig, ni du groupe
    Indexes, provoquent une erreur "Internal
    Server Error".
Pour des raisons de sécurité et de performance, ne
    définissez pas AllowOverride à autre chose que
    None dans votre bloc <Directory "/">.
    Recherchez plutôt (ou créez) le bloc <Directory>
    qui se réfère au répertoire où vous allez précisément placer un
    fichier .htaccess.
.htaccessLorsque le serveur trouve un fichier .htaccess
    (comme spécifié par la directive 
Lorsque cette directive et la directive None, les fichiers .htaccess sont totalement ignorés. Dans
    ce cas, le serveur ne cherchera même pas à lire des fichiers
    .htaccess dans le système de fichiers.
Example:
Dans l'exemple ci-dessus, seules les directives
    Redirect et RedirectMatch sont autorisées.
    Toutes les autres provoqueront une erreur interne du serveur.
Example:
Dans l'exemple ci-dessus, la directive AuthConfig, et
    FileInfo. Toutes les autres
    provoqueront une erreur interne du serveur.
Cette directive permet de définir les niveaux minimaux de filtrage disponibles pour le traitement asynchrone. Son utilisation s'avère nécessaire pour le support des filtres externes anciens qui ne géraient pas les meta-conteneurs correctement.
Si elle est définie à "network", le traitement asynchrone se
	limitera aux filtrages réseau. Si elle est définie à
	"connection", tous les filtres de réseau et de connexion seront
	disponibles pour le traitement asynchrone, y compris
	
Cette directive permet de contrôler la manière dont Apache httpd trouve
    l'interpréteur servant à exécuter les scripts CGI. Par exemple, avec
    la définition CGIMapExtension sys:\foo.nlm .foo, tous
    les fichiers scripts CGI possédant une extension .foo
    seront passés à l'interpréteur FOO.
La directive Authorization, en-tête nécessaire aux scripts qui
    implémente une authentification HTTP de base. Normalement, ces
    en-têtes HTTP sont invisibles pour les scripts car ils leurs
    permettraient de voir les identifiants et mots de passe
    utilisés pour accéder au serveur lorsque l'authentification HTTP de
    base est activée au niveau du serveur web. Cette directive doit être
    définie à "On" lorsque des scripts sont autorisés à implémenter une
    authentification HTTP de base.
Cette directive constitue une alternative à l'option de
    compilation SECURITY_HOLE_PASS_AUTHORIZATION qui était
    déjà disponible dans les versions précédentes du serveur HTTP
    Apache.
Cette option est prise en compte par tout module qui utilise
    ap_add_common_vars(), comme ap_add_common_vars()
    peuvent aussi choisir de prendre en compte cette option.
Cette directive permet de contrôler la manière dont certaines variables CGI sont définies.
règles REQUEST_URI :
original-uri (valeur par défaut)current-uriContent-MD5
dans la réponse HTTPCette directive active la génération d'un en-tête
    Content-MD5 selon les définitions des RFC 1864 et
    2616.
MD5 est un algorithme permettant de générer un condensé (parfois appelé "empreinte") à partir de données d'une taille aléatoire ; le degré de précision est tel que la moindre altération des données d'origine entraîne une altération de l'empreinte.
L'en-tête Content-MD5 permet de vérifier
    l'intégrité de la réponse HTTP dans son ensemble. Un serveur mandataire
    ou un client peut utiliser cet en-tête pour rechercher une
    éventuelle modification accidentelle de la réponse au cours de sa
    transmission. Exemple d'en-tête :
Notez que des problèmes de performances peuvent affecter votre serveur, car l'empreinte est générée pour chaque requête (il n'y a pas de mise en cache).
L'en-tête Content-MD5 n'est envoyé qu'avec les
    documents servis par le module 
La directive 
Example
La valeur par défaut de la directive
    DEFAULT_REL_RUNTIMEDIR
    définie à la compilation.
Note: si la valeur de 
none. Dans
les versions précédentes, DefaultType permettait de spécifier un type de
média à assigner par défaut au contenu d'une réponse pour lequel aucun
autre type de média n'avait été trouvé.
none, sont
DESACTIVÉS à partir de la version 2.3.0.Cette directive a été désactivée. Pour la compatibilité
    ascendante avec les anciens fichiers de configuration, elle peut
    être spécifiée avec la valeur none, c'est à dire sans
    type de médium par défaut. Par exemple :
DefaultType None n'est disponible que dans les
    versions d'Apache 2.2.7 et supérieures.
Utilisez le fichier de configuration mime.types et la directive
    
Avec un seul paramètre, l'effet de la directive
    -D du programme -D au sein des scripts de démarrage.
De plus, le second paramètre permet d'affecter une valeur à la
    variable définie par le premier. Cette variable peut être référencée
    dans le fichier de configuration via la syntaxe ${VAR}.
    La portée de la variable est toujours globale, et n'est jamais
    limitée à la section de configuration courante.
Le caractère ":" est interdit dans les noms de variables afin
    d'éviter les conflits avec la syntaxe de la directive 
Si cette directive est définie au sein d'un bloc VirtualHost, les changements qu'elle induit sont visibles de toute directive ultérieure, au delà de tout bloc VirtualHost.
Les balises </Directory> permettent de regrouper un ensemble
    de directives qui ne s'appliquent qu'au répertoire précisé,
    à ses sous-répertoires, et aux fichiers situés dans ces
    sous-répertoires. Toute directive
    autorisée dans un contexte de répertoire peut être utilisée.
    chemin répertoire est soit le chemin absolu d'un
    répertoire, soit une chaîne de caractères avec caractères génériques
    utilisant la comparaison Unix de style shell. Dans une chaîne de
    caractères avec caractères génériques, ? correspond à
    un caractère quelconque, et * à toute chaîne de
    caractères. Les intervalles de caractères [] sont aussi
    autorisés. Aucun caractère générique ne peut remplacer le caractère
    `/', si bien que l'expression <Directory
    "/*/public_html"> ne conviendra pas pour le chemin
     * /home/user/public_html, alors que <Directory
    "/home/*/public_html"> conviendra. Exemple :
Les chemins de répertoires contenant des espaces doivent être entourés de guillemets afin d'empêcher l'interprétation de ces espaces comme fins d'arguments.
Soyez prudent avec l'argument chemin répertoire : il
      doit correspondre exactement au chemin du système de fichier
      qu'Apache httpd utilise pour accéder aux fichiers. Les directives
      comprises dans une section <Directory> ne
      s'appliqueront pas aux fichiers du même répertoire auxquels on
      aura accédé via un chemin différent, per exemple via un lien
      symbolique.
 Les ~. Par exemple :
pourra correspondre à tout répertoire situé dans /www/ et dont le nom se compose de trois chiffres.
Si plusieurs sections 
l'accès au document /home/web/dir/doc.html emprunte
    le chemin suivant :
AllowOverride None
      (qui désactive les fichiers .htaccess).AllowOverride
      FileInfo (pour le répertoire /home).FileInfo qui se
      trouverait dans d'éventuels fichiers /home/.htaccess,
      /home/web/.htaccess ou
      /home/web/dir/.htaccess, dans cet ordre.Les directives associées aux répertoires sous forme d'expressions rationnelles ne sont prises en compte qu'une fois toutes les directives des sections sans expressions rationnelles appliquées. Alors, tous les répertoires avec expressions rationnelles sont testés selon l'ordre dans lequel ils apparaissent dans le fichier de configuration. Par exemple, avec
la section avec expression rationnelle ne sera prise en compte
    qu'après les sections .htaccess. Alors, l'expression
    rationnelle conviendra pour /home/abc/public_html/abc
    et la section 
Notez que la politique d'accès par défaut
   dans les sections <Directory "/"> consiste à
   autoriser tout accès sans restriction. Ceci signifie qu'Apache httpd va servir tout fichier
   correspondant à une URL. Il est recommandé de modifier cette
   situation à l'aide d'un bloc du style
puis d'affiner la configuration pour les répertoires que vous voulez rendre accessibles. Voir la page Conseils à propos de sécurité pour plus de détails.
Les sections httpd.conf. Les directives 
Les balises </DirectoryMatch> permettent de regrouper un
    ensemble de directives qui ne s'appliqueront qu'au répertoire
    précisé (et aux fichiers qu'il contient), comme pour la section 
convient pour les sous-répertoires de /www/ dont
    le nom se compose de trois chiffres.
A partir de la version 2.4.8, les groupes nommés et les
    références arrières sont extraits et enregistrés dans
    l'environnement avec leur nom en majuscules et préfixé
    par "MATCH_". Ceci permet
    de référencer des URLs dans des expressions
    ou au sein de modules comme 
Cette directive permet de définir le répertoire à partir duquel
    
un accès à http://my.example.com/index.html se
    réfère alors à /usr/web/index.html. Si chemin
    répertoire n'est pas un chemin absolu, il est considéré comme
    relatif au chemin défini par la directive 
Le répertoire défini par la directive
    
La section 
La condition de la section 
La section 
La condition correspondant à la section 
Cette directive définit si 
Cette projection en mémoire induit parfois une amélioration des performances. Sur certains systèmes cependant, il est préférable de désactiver la projection en mémoire afin d'éviter certains problèmes opérationnels :
Pour les configurations de serveur sujettes à ce genre de problème, il est préférable de désactiver la projection en mémoire des fichiers servis en spécifiant :
Pour les montages NFS, cette fonctionnalité peut être explicitement désactivée pour les fichiers concernés en spécifiant :
Cette directive définit si le programme 
Ce mécanisme sendfile évite la séparation des opérations de lecture et d'envoi, ainsi que les réservations de tampons. sur certains systèmes cependant, ou sous certains systèmes de fichiers, il est préférable de désactiver cette fonctionnalité afin d'éviter certains problèmes opérationnels :
sendfile peut s'avérer incapable de
    traiter les fichiers de plus de 2 Go.Pour les configurations de serveur non sujettes à ce genre de problème, vous pouvez activer cette fonctionnalité en spécifiant :
Pour les montages réseau, cette fonctionnalité peut être explicitement désactivée pour les fichiers concernés en spécifiant :
Veuillez noter que la configuration de la directive
    
Cette directive permet de modifier les règles qui s'appliquent à la ligne
    de requête HTTP (RFC 7230
    §3.1.1) et aux champs des en-têtes des requêtes HTTP (RFC 7230
    §3.2), qui s'appliquent maintenant par défaut ou en utilisant
    l'option Strict. L'option Unsafe
    a été ajoutée pour pouvoir restaurer les anciens
    comportements nécessaires aux anciens modules et applications et aux agents
    utilisateurs personnalisés considérés comme obsolètes.
Ces règles s'appliquant avant le traitement de la requête, elles doivent, pour être prises en compte, être définies au niveau global ou dans la première section par défaut du serveur virtuel qui correspond à la requête considérée, par interface IP/port et non par nom.
Cette directive accepte trois paramètres issus de la liste suivante, ceux qui ne sont pas spécifiés prenant leur valeur par défaut :
Avant l'introduction de cette directive, les interpréteurs de requêtes du
    serveur HTTP Apache toléraient un grand nombre de formats en entrée qui
    n'étaient pas forcément conformes au protocole. RFC 7230 §9.4
    Request Splitting et §9.5 Response
    Smuggling ne rappellent que deux des risques potentiels induits par des
    requêtes non conformes, alors que RFC 7230
    §3.5 signale les risques encourus par l'acceptation de blancs non
    conformes dans les lignes de requête. Avec l'introduction de cette
    directive, toutes les règles de grammaire de la spécification doivent être
    respectées dans le mode d'opérations par défaut Strict.
Il est fortement déconseillé aux utilisateurs d'utiliser le mode
    d'opération Unsafe, ou
    UnsafeWhitespace, en particulier pour les déploiements de
    serveurs ouverts sur l'extérieur et/ou accessibles au public. Si un moniteur
    défectueux ou autre logiciel spécialisé ne s'exécutant que sur un intranet
    nécessite une interface, les utilisateurs ne doivent utiliser les options de
    type UnSafe qu'en cas de nécessité et uniquement au sein d'un serveur
    virtuel bien spécifique et sur un réseau privé.
Il peut s'avérer nécessaire de forcer certains utilitaires à utiliser CRLF ; si ce n'est pas le cas, httpd reverra une réponse HTTP 400 comme dans le cas précédent. Par exemple, le client OpenSSL s_client doit utiliser le paramètre -crlf pour fonctionner correctement.
Pour détecter des problèmes tels que l'absence de CRLF, vous pouvez
	utiliser la directive 
La section de la RFC 7231
    §4.1 "Request Methods" "Overview" indique que les serveurs doivent
    renvoyer un message d'erreur lorsque la ligne de requête comporte une
    méthode non supportée. C'est déjà le cas lorsque l'option
    LenientMethods est utilisée, mais les administrateurs ont la
    possibilité de limiter les méthodes utilisées via l'option
    RegisteredMethods en enregistrant toute méthode non standard
    via la directive Unsafe est utilisée.
L'option
    RegisteredMethods ne doit pas être utilisée
    pour les serveurs mandataires car ces derniers ne connaissent pas les
    méthodes supportées par les serveurs originaux.
La section de la RFC 2616
    §19.6 "Compatibility With Previous Versions" encouragait les
    serveurs HTTP à supporter les anciennes requêtes HTTP/0.9. La RFC 7230 va
    cependant à son encontre via sa préconisation "Le souhait de supporter les
    requêtes HTTP/0.9 a été supprimé" et y adjoint des commentaires dans RFC 7230 Appendix
    A. A ce titre, l'option Require1.0 permet à l'utilisateur
    d'inhiber le comportement induit par l'option par défaut
    Allow0.9.
La consultation des messages enregistrés dans le journal
    info, pourra
    vous aider à identifier de telles requêtes non conformes ainsi que leur
    provenance. Les utilisateurs devront accorder une attention particulière aux
    messages d'erreur de type 400 dans le journal access pour détecter les
    requêtes apparemment valides mais rejetées.
Si une erreur peut être détectée dans la configuration, souvent un module manquant, cette directive peut être utilisée pour générer un message d'erreur personnalisé, et interrompre la lecture de la configuration.
Apache httpd peut traiter les problèmes et les erreurs de quatre manières,
La première option constitue le comportement par défaut; pour
    choisir une des trois autres options, il faut configurer Apache à
    l'aide de la directive 
A partir de la version 2.4.13, cette directive peut utiliser la syntaxe des expressions pour générer des chaînes de caractères et des URLs dynamiques.
Les URLs peuvent commencer par un slash (/) pour les chemins web
    locaux (relatifs au répertoire défini par la directive 
De plus, on peut spécifier la valeur spéciale default
    pour indiquer l'utilisation d'un simple message d'Apache httpd codé en
    dur. Bien que non nécessaire dans des circonstances normales, la
    spécification de la valeur default va permettre de
    rétablir l'utilisation du simple message d'Apache httpd codé en dur pour
    les configurations qui sans cela, hériteraient d'une directive
    
Notez que lorsque vous spécifiez une directive
    ErrorDocument 401, le client ne saura pas qu'il doit
    demander un mot de passe à l'utilisateur car il ne recevra pas le
    code de statut 401. C'est pourquoi, si vous utilisez une
    directive ErrorDocument 401, elle devra faire référence
    à un document par le biais d'un chemin local.
Microsoft Internet Explorer (MSIE) ignore par défaut les messages d'erreur générés par le serveur lorsqu'ils sont trop courts et remplacent ses propres messages d'erreur "amicaux". Le seuil de taille varie en fonction du type d'erreur, mais en général, si la taille de votre message d'erreur est supérieure à 512 octets, il y a peu de chances pour que MSIE l'occulte, et il sera affiché par ce dernier. Vous trouverez d'avantage d'informations dans l'article de la base de connaissances Microsoft Q294807.
Bien que la plupart des messages d'erreur internes originaux
    puissent être remplacés, ceux-ci sont cependant conservés dans
    certaines circonstances sans tenir compte de la définition de la
    directive 
Si vous utilisez mod_proxy, il est en général préférable
    d'activer 
La directive 
Si le file-path commence par une barre verticale
    "(|)", il est considéré comme une commande à lancer pour traiter la
    journalisation de l'erreur.
Voir les notes à propos des journaux redirigés pour plus d'informations.
L'utilisation de syslog à la place d'un nom de
    fichier active la journalisation via syslogd(8) si le système le
    supporte et si local7,
    mais vous pouvez le modifier à l'aide de la syntaxe
    syslog:facility, où facility peut
    être remplacé par un des noms habituellement documentés dans la page
    de man syslog(1). Le dispositif syslog local7 est
    global, et si il est modifié dans un serveur virtuel, le dispositif
    final spécifié affecte l'ensemble du serveur. La même règle s'applique au
    tag syslog qui utilise par défaut le nom du binaire du serveur HTTP Apache
    httpd dans la plupart des cas. Vous pouvez aussi modifier cette
    valeur en utilisant la syntaxe syslog::tag.
Des modules additionnels peuvent implémenter leur propre
    fournisseur ErrorLog. La syntaxe est similaire à l'exemple
    syslog ci-dessus.
SECURITE : Voir le document conseils à propos de sécurité pour des détails sur les raisons pour lesquelles votre sécurité peut être compromise si le répertoire contenant les fichiers journaux présente des droits en écriture pour tout autre utilisateur que celui sous lequel le serveur est démarré.
Lors de la spécification d'un chemin de fichier sur les plates-formes non-Unix, on doit veiller à n'utiliser que des slashes (/), même si la plate-forme autorise l'utilisation des anti-slashes (\). Et d'une manière générale, il est recommandé de n'utiliser que des slashes (/) dans les fichiers de configuration.
La directive 
La spécification de connection ou
    request comme premier paramètre permet de définir des
    formats supplémentaires, ce qui a pour effet de journaliser des
    informations additionnelles lorsque le premier message est
    enregistré respectivement pour une connexion ou une requête
    spécifique. Ces informations additionnelles ne sont enregistrées
    qu'une seule fois par connexion/requête. Si le traitement d'une
    connexion ou d'une requête ne génère aucun message dans le journal,
    alors aucune information additionnelle n'est enregistrée.
Il peut arriver que certains items de la chaîne de format ne
    produisent aucune sortie. Par exemple, l'en-tête Referer n'est
    présent que si le message du journal est associé à une requête et s'il
    est généré à un moment où l'en-tête Referer a déjà été lu par le
    client. Si aucune sortie n'est générée, le comportement par défaut
    consiste à supprimer tout ce qui se trouve entre l'espace précédent
    et le suivant. Ceci implique que la ligne de journalisation est
    divisée en champs ne contenant pas d'espace séparés par des espaces.
    Si un item de la chaîne de format ne génère aucune sortie,
    l'ensemble du champ est omis. Par exemple, si l'adresse distante
    %a du format [%t] [%l] [%a] %M  n'est
    pas disponible, les crochets qui l'entourent ne seront eux-mêmes pas
    enregistrés. Il est possible d'échapper les espaces par un anti-slash
    afin qu'ils ne soient pas considérés comme séparateurs de champs.
    La combinaison '% ' (pourcentage espace) est un délimiteur de
    champ de taille nulle qui ne génère aucune sortie.
Ce comportement peut être changé en ajoutant des modificateurs à
    l'item de la chaîne de format. Le modificateur -
    (moins) provoque l'enregistrement d'un signe moins si l'item
    considéré ne génère aucune sortie. Pour les formats à enregistrement
    unique par connexion/requête, il est aussi possible d'utiliser le
    modificateur + (plus). Si un item ne générant aucune
    sortie possède le modificateur plus, la ligne dans son ensemble est
    omise.
Un modificateur de type entier permet d'assigner un niveau de sévérité à un item de format. L'item considéré ne sera journalisé que si la sévérité du message n'est pas plus haute que le niveau de sévérité spécifié. Les valeurs possibles vont de 1 (alert) à 15 (trace8), en passant par 4 (warn) ou 7 (debug).
Par exemple, voici ce qui arriverait si vous ajoutiez des
    modificateurs à l'item %{Referer}i qui enregistre le
    contenu de l'en-tête Referer.
| Item modifié | Signification | 
|---|---|
%-{Referer}i | 
    Enregistre le caractère - si l'en-tête
    Referer n'est pas défini. | 
    
%+{Referer}i | 
    N'enregistre rien si l'en-tête
    Referer n'est pas défini. | 
    
%4{Referer}i | 
    N'enregistre le contenu de l'en-tête Referer que si
    la sévérité du message de journalisation est supérieure à 4. | 
    
Certains items de format acceptent des paramètres supplémentaires entre accolades.
| Chaîne de format | Description | 
|---|---|
%% | 
        Le signe pourcentage | 
%a | 
        Adresse IP et port clients | 
%{c}a | 
        Port et adresse IP sous-jacents du correspondant pour la
	connexion (voir le module
	 | 
%A | 
        Adresse IP et port locaux | 
%{name}e | 
        Variable d'environnement de requête name | 
%E | 
        Etat d'erreur APR/OS et chaîne | 
%F | 
        Nom du fichier source et numéro de ligne de l'appel du journal | 
%{name}i | 
        En-tête de requête name | 
%k | 
        Nombre de requêtes persistantes pour cette connexion | 
%l | 
        Sévérité du message | 
%L | 
        Identifiant journal de la requête | 
%{c}L | 
        Identifiant journal de la connexion | 
%{C}L | 
        Identifiant journal de la connexion si utilisé dans la portée de la connexion, vide sinon | 
%m | 
        Nom du module qui effectue la journalisation du message | 
%M | 
        Le message effectif | 
%{name}n | 
        Note de requête name | 
%P | 
        Identifiant du processus courant | 
%T | 
        Identifiant du thread courant | 
%{g}T | 
        Identifiant unique de thread système du thread courant
	(l'identifiant affiché par la commande top par
	exemple ; seulement sous Linux pour l'instant) | 
%t | 
        L'heure courante | 
%{u}t | 
        L'heure courante avec les microsecondes | 
%{cu}t | 
        L'heure courante au format compact ISO 8601, avec les microsecondes | 
%v | 
        Le nom de serveur canonique  | 
%V | 
        Le nom de serveur du serveur qui sert la requête en accord
	avec la définition de la directive  | 
\  (anti-slash espace) | 
        Espace non délimiteur | 
%  (pourcentage espace) | 
        Délimiteur de champ (aucune sortie) | 
L'item de format identifiant journal %L génère un
    identifiant unique pour une connexion ou une requête. Il peut servir
    à déterminer quelles lignes correspondent à la même connexion ou
    requête ou quelle requête est associée à tel connexion. Un item de
    format %L est aussi disponible dans le module
    
Cet exemple renverrait un message d'erreur du style :
Notez que, comme indiqué plus haut, certains champs sont totalement supprimés s'ils n'ont pas été définis.
Cette option permet d'extraire des données supplémentaires
	concernant la requête en cours de traitement pour un processus
	donné, ainsi qu'un résumé d'utilisation ; vous pouvez accéder à
	ces variables pendant l'exécution en configurant
	
Cette directive s'applique au serveur dans son ensemble, et ne peut pas être activée/désactivée pour un serveur virtuel particulier. Notez que l'extraction des informations d'état étendues peut ralentir le serveur. Notez aussi que cette définition ne peut pas être modifiée au cours d'un redémarrage graceful.
Notez que le chargement de 
    La directive ETag (entity tag) quand le
    document est contenu dans un fichier statique(la valeur de
    ETag
    est utilisée dans le cadre de la gestion du cache pour préserver la
    bande passante réseau). La directive
    
ETag ne sera inclus dans la réponseLes mots-clés INode, MTime, et
    Size peuvent être préfixés par + ou
    -, ce qui permet de modifier les valeurs par défaut
    héritées d'un niveau de configuration plus général. Tout mot-clé
    apparaissant sans aucun préfixe annule entièrement et immédiatement
    les configurations héritées.
Si la configuration d'un répertoire contient
    FileETag INode MTime Size, et si un de
    ses sous-répertoires contient FileETag -INode, la
    configuration de ce sous-répertoire (qui sera propagée vers tout
    sous-répertoire qui ne la supplante pas), sera équivalente à
    FileETag MTime Size.
MTime Size comme format fixe pour les
    comparaisons de champs ETag dans les requêtes
    conditionnelles. Ces requêtes conditionnelles échoueront si le
    format ETag est modifié via la directive
    La directive </Files>. Les directives contenues dans
    cette section s'appliqueront à tout objet dont le nom de base (la
    dernière partie du nom de fichier) correspond au fichier spécifié.
    Les sections .htaccess, mais avant les sections 
L'argument filename peut contenir un nom de fichier
    ou une chaîne de caractères avec caractères génériques, où
    ? remplace un caractère, et * toute chaîne
    de caractères.
On peut aussi utiliser les ~. Par exemple :
correspondrait à la plupart des formats graphiques de l'Internet.
    Il est cependant préférable d'utiliser la directive 
Notez qu'à la différence des sections .htaccess. Ceci permet aux utilisateurs de
    contrôler l'accès à leurs propres ressources, fichier par
    fichier.
La section 
correspondrait à la plupart des formats graphiques de l'Internet.
.+ au début de l'expression
    rationnelle permettent de s'assurer que les fichiers de nom
    .png, ou .gif, par exemple, ne seront pas
    pris en compte.A partir de la version 2.4.8, les groupes nommés et les
    références arrières sont extraits et enregistrés dans
    l'environnement avec leur nom en majuscules et préfixé
    par "MATCH_". Ceci permet
    de référencer des URLs dans des expressions
    ou au sein de modules comme 
Lorsqu'elle est placée dans un fichier .htaccess ou
    une section .gif, vous pouvez utiliser
    :
Notez que cette directive l'emporte sur d'autres associations de
    type de médium indirectes définies dans mime.types ou via la
    directive 
Vous pouvez aussi annuler toute définition plus générale de
    None à l'argument type médium :
A la base, cette directive écrase le type de contenu généré pour les fichiers statiques servis à partir du sytème de fichiers. Pour les ressources autres que les fichiers statiques pour lesquels le générateur de réponse spécifie en général un type de contenu, cette directive est ignorée.
Si aucun gestionnaire n'est explicitement défini pour une requête, le type de contenu spécifié sera aussi utilisé comme nom de gestionnaire.
Lorsque des directives explicites comme 
Il s'agit d'un comportement historique que certains modules tiers, comme mod_php, peuvent interpréter comme un type de contenu artificiel ne servant qu'à indiquer le module qui doit prendre en compte la requête considérée.
Dans la mesure du possible, il est conseillé d'éviter les
    configurations qui comportent de tels types artificiels. En outre,
    les configurations qui restreignent l'accès aux directives
    
Lorsque le serveur a été compilé avec le support du profiling
    gprof, la directive gmon.out
    doivent être écrits lorsque le processus s'arrête. Si l'argument se
    termine par un caractère pourcentage ('%'), des sous-répertoires
    sont créés pour chaque identifiant de processus.
Cette directive ne fonctionne actuellement qu'avec le MPM
    
Cette directive active la recherche DNS afin de pouvoir
    journaliser les nom d'hôtes (et les passer aux programmes CGI et aux
    inclusions SSI via la variable REMOTE_HOST). La valeur
    Double déclenche une double recherche DNS inverse. En
    d'autres termes, une fois la recherche inverse effectuée, on lance
    une recherche directe sur le résultat de cette dernière. Au moins
    une des adresses IP fournies par la recherche directe doit
    correspondre à l'adresse originale (ce que l'on nomme
    PARANOID dans la terminologie "tcpwrappers").
Quelle que soit la configuration, lorsqu'on utilise
    HostnameLookups Double. Par exemple, si vous
    n'avez spécifié que HostnameLookups On, et si une
    requête concerne un objet protégé par des restrictions en fonction
    du nom d'hôte, quel que soit le résultat de la double recherche
    inverse, les programmes CGI ne recevront que le résultat de la
    recherche inverse simple dans la variable
    REMOTE_HOST.
La valeur par défaut est Off afin de préserver le
    traffic réseau des sites pour lesquels la recherche inverse n'est
    pas vraiment nécessaire. Cette valeur par défaut est aussi bénéfique
    pour les utilisateurs finaux car il n'ont ainsi pas à subir de temps
    d'attente supplémentaires dus aux recherches DNS. Les sites
    fortement chargés devraient laisser cette directive à
    Off, car les recherches DNS peuvent prendre des temps
    très longs. Vous pouvez éventuellement utiliser hors ligne
    l'utilitaire bin de votre répertoire
    d'installation, afin de déterminer les noms d'hôtes associés aux
    adresses IP journalisées.
Enfin, si vous avez des directives Require à base de
    nom, une recherche de nom d'hôte sera effectuée quelle que soit
    la définition de la directive HostnameLookups.
La directive 
serait satisfaite pour les requêtes HTTP/1.0 sans en-tête
    Host:. Les expressions peuvent contenir différents
    opérateurs de type shell pour la comparaison de chaînes
    (==, !=, <, ...), la
    comparaison d'entiers (-eq, -ne, ...), ou
    à usages divers (-n, -z, -f,
    ...). Les expressions rationnelles sont aussi supportées,
ainsi que les comparaison de modèles de type shell et de
    nombreuses autres opérations. Ces opérations peuvent être effectuées
    sur les en-têtes de requêtes (req), les variables
    d'environnement (env), et un grand nombre d'autres
    propriétés. La documentation complète est disponible dans Les expressions dans le serveur HTTP Apache.
Cette section de configuration ne peut contenir que des directives qui supportent le contexte de répertoire.
CONTENT_TYPE ainsi que
    d'autres en-têtes de réponse ne seront pas disponibles dans ce bloc,
    car elle sont définies après l'évaluation des conditions <If>.
    La section <IfDefine
    test>...</IfDefine> permet de
    conférer un caractère conditionnel à un ensemble de directives. Les
    directives situées à l'intérieur d'une section 
test peut se présenter sous deux formes :
!nom paramètreDans le premier cas, les directives situées entre les balises de début et de fin ne s'appliqueront que si le paramètre nommé nom paramètre est défini. Le second format inverse le test, et dans ce cas, les directives ne s'appliqueront que si nom paramètre n'est pas défini.
L'argument nom paramètre est une définition qui peut
    être effectuée par la ligne de commande
    -Dparamètre au démarrage du serveur, ou via la
    directive 
Les sections 
La section <IfFile filename>...</IfFile>
    permet de conditionner le traitement de directives à
    l'existence d'un fichier sur disque. Ainsi, les directives définies au sein
    d'une section 
Le paramètre filename de l'en-tête d'une section ! juste avant
    filename.
    
Si filename est un chemin relatif, il sera généré par rapport
    au chemin défini par la directive -d.
La section <IfModule
    test>...</IfModule> permet de conférer à
    des directives un caractère conditionnel basé sur la présence d'un
    module spécifique. Les directives situées dans une section
    
test peut se présenter sous deux formes :
Dans le premier cas, les directives situées entre les balises de
    début et de fin ne s'appliquent que si le module module
    est présent -- soit compilé avec le binaire Apache httpd, soit chargé
    dynamiquement via la directive 
L'argument module peut contenir soit l'identificateur
    du module, soit le nom du fichier source du module. Par exemple,
    rewrite_module est un identificateur et
    mod_rewrite.c le nom du fichier source
    correspondant. Si un module comporte plusieurs fichiers sources,
    utilisez le nom du fichier qui contient la chaîne de caractères
    STANDARD20_MODULE_STUFF.
Les sections 
La section <IfDirective
    test>...</IfDirective> permet de regrouper des
    directives dont le traitement n'est effectué que si une directive
    particulière est présente, autrement dit si l'expression test est
    évaluée à true. Si l'expression test est évaluée à false, toutes
    les lignes qui se trouvent entre les balises de début et de fin de la
    section sont ignorées.
L'expression test de la section 
Dans le premier cas, les directives qui se situent entre les balises de début et de fin de la section ne sont traitées que si une directive de nom directive-name est disponible à cet instant. Dans le second cas, la condition est inversée, et les directives ne sont traitées que si directive-name n'est pas disponible.
La section <IfSection
    test>...</IfSection> permet de regrouper des
    directives dont le traitement n'est effectué que si une section de
    configuration particulière est présente. Une section, par exemple 
Les directives situées à l'intérieur d'une section 
section-name doit être spécifié sans les caractères de début
    "<" ou fin ">". L'expression test de la section 
Dans le premier cas, les directives qui se situent entre les balises de début et de fin de la section ne sont traitées que si une section de nom section-name est disponible à cet instant. Dans le second cas, la condition est inversée, et les directives ne sont traitées que si section-name n'est pas disponible.
Par exemple :
Cette directive permet l'inclusion d'autres fichiers de configuration dans un des fichiers de configuration du serveur.
On peut utiliser des caractères génériques de style Shell
    (fnmatch()) aussi bien dans la partie nom de fichier du
    chemin que dans la partie répertoires pour inclure plusieurs
    fichiers en une
    seule fois, selon leur ordre alphabétique. De plus, si la directive
    
La directive 
Le chemin fichier spécifié peut être soit un chemin absolu, soit
    un chemin relatif au répertoire défini par la directive 
Exemples :
ou encore, avec des chemins relatifs au répertoire défini par la
    directive 
On peut aussi insérer des caractères génériques dans la partie répertoires du chemin. Dans l'exemple suivant, la directive échouera si aucun sous-répertoire de conf/vhosts ne contient au moins un fichier *.conf :
Par contre, dans l'exemple suivant, la directive sera simplement ignorée si aucun sous-répertoire de conf/vhosts ne contient au moins un fichier *.conf :
Cette directive permet d'inclure des fichiers dans les fichiers
    de configuration du serveur. Elle fonctionne de manière identique à
    la directive 
L'extension Keep-Alive de HTTP/1.0 et l'implémentation des
    connexions persistantes dans HTTP/1.1 ont rendu possibles des
    sessions HTTP de longue durée, ce qui permet de transmettre
    plusieurs requêtes via la même connexion TCP. Dans certains cas, le
    gain en rapidité pour des documents comportant de nombreuses images
    peut atteindre 50%. Pour activer les connexions persistantes,
    définissez KeepAlive On.
Pour les clients HTTP/1.0, les connexions persistantes ne seront mises en oeuvre que si elles ont été spécialement demandées par un client. De plus, une connexion persistante avec un client HTTP/1.0 ne peut être utilisée que si la taille du contenu est connue d'avance. Ceci implique que les contenus dynamiques comme les sorties CGI, les pages SSI, et les listings de répertoires générés par le serveur n'utiliseront en général pas les connexions persistantes avec les clients HTTP/1.0. Avec les clients HTTP/1.1, les connexions persistantes sont utilisées par défaut, sauf instructions contraires. Si le client le demande, le transfert par tronçons de taille fixe (chunked encoding) sera utilisé afin de transmettre un contenu de longueur inconnue via une connexion persistante.
Lorsqu'un client utilise une connexion persistante, elle comptera
    pour une seule requête pour la directive 
Le nombre de secondes pendant lesquelles Apache httpd va attendre une
    requête avant de fermer la connexion. Le délai peut être défini en
    millisecondes en suffixant sa valeur par ms. La valeur du délai
    spécifiée par la directive 
Donner une valeur trop élévée à
    
Si la directive 
Les contrôles d'accès s'appliquent normalement à
    toutes les méthodes d'accès, et c'est en général le
    comportement souhaité. Dans le cas général, les directives
    de contrôle d'accès n'ont pas à être placées dans une section
    
La directive POST, PUT, et
    DELETE, en laissant les autres méthodes sans protection
    :
La liste des noms de méthodes peut contenir une ou plusieurs
    valeurs parmi les suivantes : GET, POST,
    PUT, DELETE, CONNECT,
    OPTIONS, PATCH, PROPFIND,
    PROPPATCH, MKCOL, COPY,
    MOVE, LOCK, et UNLOCK.
    Le nom de méthode est sensible à la casse. Si la
    valeur GET est présente, les requêtes HEAD
    seront aussi concernées. La méthode TRACE ne peut pas
    être limitée (voir la directive 
Les directives 
Par exemple, avec la configuration suivante, tous les
    utilisateurs seront autorisés à effectuer des requêtes
    POST, et la directive Require group
    editors sera ignorée dans tous les cas :
</LimitExcept> permettent de regrouper des
    directives de contrôle d'accès qui s'appliqueront à toutes les
    méthodes d'accès HTTP qui ne font pas partie de la
    liste des arguments ; en d'autres termes, elles ont un comportement
    opposé à celui de la section 
Par exemple :
Une redirection interne survient, par exemple, quand on utilise
    la directive 
La directive 
La directive accepte, comme arguments, deux limites qui sont évaluées à chaque requête. Le premier nombre est le nombre maximum de redirections internes qui peuvent se succéder. Le second nombre détermine la profondeur d'imbrication maximum des sous-requêtes. Si vous ne spécifiez qu'un seul nombre, il sera affecté aux deux limites.
Cette directive spécifie la taille maximale autorisée pour le corps d'une requête ; la valeur de l'argument octets va de 0 (pour une taille illimitée), à 2147483647 (2Go). Voir la note ci-dessous pour la limite d'applicabilité aux requêtes mandatées.
La directive PUT nécessitent une valeur au moins aussi élevée que la
    taille maximale des représentations que le serveur désire accepter
    pour cette ressource.
L'administrateur du serveur peut utiliser cette directive pour contrôler plus efficacement les comportements anormaux des requêtes des clients, ce qui lui permettra de prévenir certaines formes d'attaques par déni de service.
Si par exemple, vous autorisez le chargement de fichiers vers une localisation particulière, et souhaitez limiter la taille des fichiers chargés à 100Ko, vous pouvez utiliser la directive suivante :
Pour une description détaillée de la manière dont cette
    directive est interprétée par les requêtes mandatées, voir la
    documentation du module 
nombre est un entier de 0 (nombre de champs illimité)
    à 32767. La valeur par défaut est définie à la compilation par la
    constante DEFAULT_LIMIT_REQUEST_FIELDS (100 selon la
    distribution).
La directive 
L'administrateur du serveur peut utiliser cette directive pour contrôler plus efficacement les comportements anormaux des requêtes des clients, ce qui lui permettra de prévenir certaines formes d'attaques par déni de service. La valeur spécifiée doit être augmentée si les clients standards reçoivent une erreur du serveur indiquant que la requête comportait un nombre d'en-têtes trop important.
Par exemple :
Dans le cas des serveurs virtuels à base de noms, la valeur de cette directive est extraite du serveur virtuel par défaut (le premier de la liste) pour la paire adresse IP/port.
Cette directive permet de définir le nombre maximum d'octets autorisés dans un en-tête de requête HTTP.
La directive 
>L'administrateur du serveur peut utiliser cette directive pour contrôler plus efficacement les comportements anormaux des requêtes des clients, ce qui lui permettra de prévenir certaines formes d'attaques par déni de service.
Par exemple ::
Dans le cas des serveurs virtuels à base de noms, la valeur de cette directive est extraite du serveur virtuel par défaut (le premier de la liste) pour lequel la paire adresse IP/port correspond le mieux.
Cette directive permet de définir la taille maximale autorisée pour une ligne de requête HTTP en octets.
La directive GET.
L'administrateur du serveur peut utiliser cette directive pour contrôler plus efficacement les comportements anormaux des requêtes des clients, ce qui lui permettra de prévenir certaines formes d'attaques par déni de service.
Par exemple :
Dans le cas des serveurs virtuels à base de noms, la valeur de cette directive est extraite du serveur virtuel par défaut (le premier de la liste) pour lequel la paire adresse IP/port correspond le mieux.
Taille maximale (en octets) du corps d'une requête au format XML.
    Une valeur de 0 signifie qu'aucune limite n'est
    imposée.
Exemple :
La directive </Location>. Les sections .htaccess, et après les sections 
Les sections 
Les directives que contient cette section seront appliquées aux requêtes si la partie chemin de l'URL satisfait à l'un au moins de ces critères :
Dans l'exemple ci-dessous, où aucun slash de fin n'est utilisé, les directives contenues dans la section s'appliqueront à /private1, /private1/ et /private1/file.txt, mais pas à /private1other.
De même, dans l'exemple ci-dessous, où l'on utilise un slash de fin, les directives contenues dans la section s'appliqueront à /private2/ et à /private2/file.txt, mais pas à /private2other.
Vous pouvez utiliser une section <Location
    "/"> constitue une exception et permet d'appliquer aisément
    une configuration à l'ensemble du serveur.
Pour toutes les requêtes originales (non mandatées), l'argument
    URL est un chemin d'URL de la forme
    /chemin/. Aucun protocole, nom d'hôte, port, ou chaîne
    de requête ne doivent apparaître. Pour les requêtes mandatées, l'URL
    spécifiée doit être de la forme
    protocole://nom_serveur/chemin, et vous devez inclure
    le préfixe.
L'URL peut contenir des caractères génériques. Dans une chaîne
    avec caractères génériques, ? correspond à un caractère
    quelconque, et * à toute chaîne de caractères. Les
    caractères génériques ne peuvent pas remplacer un / dans le chemin
    URL.
On peut aussi utiliser les ~. Par exemple :
concernerait les URLs contenant les sous-chaîne
    /extra/data ou /special/data. La directive
    ~ de -
    dans la plupart des fontes.
La directive example.com, vous pouvez
    utiliser :
La signification du caractère slash dépend de l'endroit où il
      se trouve dans l'URL. Les utilisateurs peuvent être habitués à
      son comportement dans le système de fichiers où plusieurs slashes
      successifs sont souvent réduits à un slash unique (en d'autres
      termes, /home///foo est identique à
      /home/foo). Dans l'espace de nommage des URLs, ce
      n'est cependant pas toujours le cas. Pour la directive 
Par exemple, <LocationMatch "^/abc"> va
      correspondre à l'URL /abc mais pas à l'URL 
      //abc. La directive <Location
      "/abc/def">, une requête de la forme
      /abc//def correspondra.
La directive 
correspondrait à toute URL contenant les sous-chaînes
    /extra/data ou /special/data.
Si vous recherchez une URL commençant par
    plutôt que seulement contenant /extra/data, préfixez
    l'expression rationnelle avec un ^.
A partir de la version 2.4.8, les groupes nommés et les
    références arrières sont extraits et enregistrés dans
    l'environnement avec leur nom en majuscules et préfixé
    par "MATCH_". Ceci permet
    de référencer des URLs dans des expressions
    ou au sein de modules comme 
La directive 
| Niveau | Description | Exemple | 
|---|---|---|
emerg  | 
        Urgences - le système est inutilisable. | "Child cannot open lock file. Exiting" | 
alert  | 
        Des mesures doivent être prises immédiatement. | "getpwuid: couldn't determine user name from uid" | 
crit  | 
        Conditions critiques. | "socket: Failed to get a socket, exiting child" | 
error  | 
        Erreurs. | "Premature end of script headers" | 
warn  | 
        Avertissements. | "child process 1234 did not exit, sending another SIGHUP" | 
notice  | 
        Evènement important mais normal. | "httpd: caught SIGBUS, attempting to dump core in ..." | 
info  | 
        Informations. | "Server seems busy, (you may need to increase StartServers, or Min/MaxSpareServers)..." | 
debug  | 
        Messages de débogage. | "Opening config file ..." | 
trace1  | 
        Messages de traces | "proxy: FTP: control connection complete" | 
trace2  | 
        Messages de traces | "proxy: CONNECT: sending the CONNECT request to the remote proxy" | 
trace3  | 
        Messages de traces | "openssl: Handshake: start" | 
trace4  | 
        Messages de traces | "read from buffered SSL brigade, mode 0, 17 bytes" | 
trace5  | 
        Messages de traces | "map lookup FAILED: map=rewritemap key=keyname" | 
trace6  | 
        Messages de traces | "cache lookup FAILED, forcing new map lookup" | 
trace7  | 
        Messages de traces, enregistrement d'une grande quantité de données | "| 0000: 02 23 44 30 13 40 ac 34 df 3d bf 9a 19 49 39 15 |" | 
trace8  | 
        Messages de traces, enregistrement d'une grande quantité de données | "| 0000: 02 23 44 30 13 40 ac 34 df 3d bf 9a 19 49 39 15 |" | 
Lorsqu'un niveau particulier est spécifié, les messages de tous
    les autres niveaux de criticité supérieure seront aussi enregistrés.
    Par exemple, si LogLevel info est spécifié,
    les messages de niveaux notice et warn
    seront aussi émis.
Il est recommandé d'utiliser un niveau crit ou
    inférieur.
Par exemple :
Si la journalisation s'effectue directement dans un fichier,
      les messages de niveau notice ne peuvent pas être
      supprimés et sont donc toujours journalisés. Cependant, ceci ne
      s'applique pas lorsque la journalisation s'effectue vers
      syslog.
Spécifier un niveau sans nom de module va attribuer ce niveau à
    tous les modules. Spécifier un niveau avec nom de module va
    attribuer ce niveau à ce module seulement. Il est possible de
    spécifier un module par le nom de son fichier source ou par son
    identificateur, avec ou sans le suffixe _module. Les
    trois spécifications suivantes sont donc équivalentes :
Il est aussi possible d'attribuer un niveau de journalisation par répertoire :
La directive 
La directive 
Pour les requêtes concernées par une directive
    
Exemples:
La directive 0, le nombre de requêtes autorisées est
    illimité. Il est recommandé de définir une valeur assez haute pour
    des performances du serveur maximales.
Par exemple :
La directive 
100-200,150-300) avant le renvoi de la
    ressource complèteLa directive 
100-200,50-70) avant le renvoi de la
    ressource complèteLa directive 
La directive default comme second argument
    pour modifier la configuration de tous les mutex ; spécifiez un nom
    de mutex (voir la table ci-dessous) comme premier argument pour
    ne modifier que la configuration de ce mutex.
La directive 
Cette directive ne configure que les mutex qui ont été
    enregistrés avec le serveur de base via l'API
    ap_mutex_register(). Tous les modules fournis avec
    httpd supportent la directive 
Les mécanismes de mutex disponibles sont les suivants :
default | yes
        C'est l'implémentation du verrouillage par défaut, telle
	qu'elle est définie par -V.
none | no
        Le mutex est désactivé, et cette valeur n'est permise pour un mutex que si le module indique qu'il s'agit d'un choix valide. Consultez la documentation du module pour plus d'informations.
posixsem
        Une variante de mutex basée sur un sémaphore Posix.
La propriété du sémaphore n'est pas restituée si un thread du processus gérant le mutex provoque une erreur de segmentation, ce qui provoquera un blocage du serveur web.
sysvsem
        Une variante de mutex basée sur un sémaphore IPC SystemV.
Il peut arriver que les sémaphores SysV soient conservés si le processus se crashe avant que le sémaphore ne soit supprimé.
L'API des sémaphores permet les attaques par déni de service
	par tout programme CGI s'exécutant sous le même uid que le
	serveur web (autrement dit tous les programmes CGI, à moins que
	vous n'utilisiez un programme du style cgiwrapper).
sem
        Sélection de la "meilleure" implémentation des sémaphores disponible ; le choix s'effectue entre les sémaphores posix et IPC SystemV, dans cet ordre.
pthread
        Une variante de mutex à base de mutex de thread Posix inter-processus.
Sur la plupart des systèmes, si un processus enfant se termine anormalement alors qu'il détenait un mutex qui utilise cette implémentation, le serveur va se bloquer et cesser de répondre aux requêtes. Dans ce cas, un redémarrage manuel est nécessaire pour récupérer le mutex.
Solaris constitue une exception notable, en ceci qu'il fournit un mécanisme qui permet en général de récupérer le mutex après l'arrêt anormal d'un processus enfant qui détenait le mutex.
Si votre système implémente la fonction
	pthread_mutexattr_setrobust_np(), vous devriez
	pouvoir utiliser l'option pthread sans problème.
fcntl:/chemin/vers/mutex
        Une variante de mutex utilisant un fichier verrou physique et
	la fonction fcntl().
Lorsqu'on utilise plusieurs mutex basés sur ce mécanisme dans
	un environnement multi-processus, multi-thread, des erreurs de
	blocage (EDEADLK) peuvent être rapportées pour des opérations de
	mutex valides si la fonction fcntl() ne gère pas
	les threads, comme sous Solaris.
flock:/chemin/vers/mutex
        Méthode similaire à fcntl:/chemin/vers/mutex,
	mais c'est la fonction flock() qui est utilisée
	pour gérer le verrouillage par fichier.
file:/chemin/vers/mutex
        Sélection de la "meilleure" implémentation de verrouillage
	par fichier disponible ; le choix s'effectue entre
	fcntl et flock, dans cet ordre.
La plupart des mécanismes ne sont disponibles que sur les
    plate-formes où ces dernières et 
Avec les mécanismes à base de fichier fcntl et
    flock, le chemin, s'il est fourni, est un répertoire dans
    lequel le fichier verrou sera créé. Le répertoire par défaut est le
    répertoire d'exécution httpd défini par la directive /chemin/vers/mutex et
    jamais un répertoire se trouvant dans un système de fichiers NFS ou
    AFS. Le nom de base du fichier se composera du type de mutex, d'une
    chaîne optionnelle correspondant à l'instance et fournie par le
    module ; et, sauf si le mot-clé OmitPID a été spécifié,
    l'identificateur du processus parent httpd sera ajouté afin de
    rendre le nom du fichier unique, évitant ainsi tout conflit lorsque
    plusieurs instances d'httpd partagent le même répertoire de
    verrouillage. Par exemple, si le nom de mutex est
    mpm-accept, et si le répertoire de verrouillage est
    /var/httpd/locks, le nom du fichier verrou pour
    l'instance httpd dont le processus parent a pour identifiant 12345
    sera /var/httpd/locks/mpm-accept.12345.
Il est conseillé d'éviter de placer les fichiers mutex
    dans un répertoire où tout le monde peut écrire comme
    /var/tmp, car quelqu'un pourrait initier une attaque
    par déni de service et empêcher le serveur de démarrer en créant un
    fichier verrou possédant un nom identique à celui que le serveur va
    tenter de créer.
La table suivante décrit les noms de mutex utilisés par httpd et ses modules associés.
| Nom mutex | Module(s) | Ressource protégée | 
|---|---|---|
mpm-accept | 
            modules MPM  | 
            connexions entrantes, afin d'éviter le problème de l'afflux de requêtes ; pour plus d'informations, voir la documentation Amélioration des performances | 
authdigest-client | 
            liste de clients en mémoire partagée | |
authdigest-opaque | 
            compteur en mémoire partagée | |
ldap-cache | 
            cache de résultat de recherche LDAP | |
rewrite-map | 
            communication avec des programmes externes d'associations de valeurs, afin d'éviter les interférences d'entrées/sorties entre plusieurs requêtes | |
ssl-cache | 
            cache de session SSL | |
ssl-stapling | 
            cache de l'étiquetage OCSP ("OCSP stapling") | |
watchdog-callback | 
            fonction de rappel d'un module client particulier | 
Le mot-clé OmitPID permet d'empêcher l'addition de
    l'identifiant du processus httpd parent au nom du fichier verrou.
Dans l'exemple suivant, le mécanisme de mutex pour le mutex
    mpm-accept est modifié pour passer du mécanisme par défaut au
    mécanisme fcntl, avec le fichier verrou associé créé
    dans le répertoire /var/httpd/locks. Le mécanisme de
    mutex par défaut pour tous les autres mutex deviendra
    sysvsem.
Avant la version 2.3.11, il était nécessaire de définir une
    directive 
Cette directive n'a actuellement plus aucun effet.
La directive 
option peut être défini à None, auquel
    cas aucune fonctionnalité spécifique n'est activée, ou comprendre
    une ou plusieurs des options suivantes :
AllMultiViews.ExecCGIFollowSymLinksBien que le serveur suive les liens symboliques, il ne modifie
      pas le nom de chemin concerné défini par la section
      
Les options FollowSymLinks et
      SymLinksIfOwnerMatch ne fonctionnent que dans les
      sections .htaccess.
Le fait d'omettre cette option ne doit pas être considéré comme une mesure de sécurité efficace, car il existe toujours une situation de compétition (race condition) entre l'instant où l'on vérifie qu'un chemin n'est pas un lien symbolique, et l'instant où l'on utilise effectivement ce chemin.
IncludesIncludesNOEXEC#exec
      cmd et #exec cgi sont désactivés.
      L'utilisation de #include virtual pour les scripts
      CGI est cependant toujours possible depuis des répertoires
      définis par Indexesindex.html) n'est défini pour ce
      répertoire, le module MultiViewsCette option est ignorée si elle est
      définie en tout autre endroit qu'une section 
SymLinksIfOwnerMatchLes options FollowSymLinks et
      SymLinksIfOwnerMatch ne fonctionnent que dans les
      sections .htaccess.
Le fait d'omettre cette option ne doit pas être considéré comme une mesure de sécurité efficace, car il existe toujours une situation de compétition (race condition) entre l'instant où l'on vérifie qu'un chemin n'est pas un lien symbolique, et l'instant où l'on utilise effectivement ce chemin.
Normalement, si plusieurs directives
    + ou -. Toute
    option précédée d'un + est ajoutée à la liste des
    options courantes de manière forcée et toute option précédée d'un
    - est supprimée de la liste des options courantes de la
    même manière.
Mélanger des +
    ou - avec des + ou - constitue une erreur de syntaxe, et
    la vérification de la syntaxe au cours du démarrage du serveur fera
    échouer ce dernier.
Par exemple, sans aucun symbole + et -
    :
ici, seule l'option Includes sera prise en compte
    pour le répertoire /web/docs/spec. Par contre, si la
    seconde directive + et - :
alors, les options FollowSymLinks et
    Includes seront prises en compte pour le répertoire
    /web/docs/spec.
L'utilisation de -IncludesNOEXEC ou
      -Includes désactive complètement les inclusions côté
      serveur sans tenir compte des définitions précédentes.
En l'absence de toute définition d'options, la valeur par défaut
    est FollowSymlinks.
Cette directive permet de spécifier le protocole utilisé pour une
    socket d'écoute particulière. Le protocole sert à déterminer quel
    module doit traiter une requête, et d'appliquer les optimisations
    spécifiques au protocole via la directive
    
Vous ne devez définir le protocole que si vous travaillez avec
    des ports non standards ; dans le cas général, le protocole
    http est associé au port 80 et le protocole
    https au port 443.
Par exemple, si vous travaillez avec le protocole
    https sur un port non standard, spécifiez le protocole
    de manière explicite :
Vous pouvez aussi spécifier le protocole via la directive
    
Cette directive permet de spécifier la liste des protocoles supportés par un serveur virtuel ou non. Cette liste énumère les protocoles qu'un client sera autorisé à négocier avec ce serveur.
Par défaut, seul le protocole http/1.1 est disponible (compatible avec les clients http/1.0 et http/0.9). Par conséquent, vous devez fournir cette liste si vous voulez étendre les protocoles disponibles pour le serveur.
Par exemple, si vous voulez autoriser le protocole HTTP/2 pour un serveur avec TLS, utilisez cette directive comme suit :
Les protocoles valides sont http/1.1 pour les
	connexions http et https, h2 pour les connections
	https et h2c pour les connexions http. D'autres
	modules peuvent fournir d'autres protocoles.
Spécifier des protocoles non disponibles ou désactivés n'aura aucun effet, et ceux-ci seront simplement ignorés.
Si un serveur virtuel ne possède pas de directive Protocols propre, il hérite des protocoles spécifiés pour le serveur principal. Autrement dit, les directives Protocols définies au niveau d'un serveur virtuel remplacent celles définies au niveau du serveur principal.
Cette directive permet de définir si le serveur doit tenir
	compte de l'ordre des protocoles définis par la directive
	
Si cette directive est définie à Off, l'ordre de la liste des protocoles fournie par le client l'emporte sur l'ordre défini dans la configuration du serveur.
Si la directive on (valeur par défaut),
	il n'est pas tenu compte de l'ordre de la liste des protocoles
	fournie par le client, et seul l'ordre de la liste des protocles
	définie au niveau du serveur influera la
	négociation du protocole.
Prend 1 ou 2 paramètres. Le premier definit la limite de
    consommation de ressources pour tous les processus, et le second la
    consommation de ressources maximale. Les deux paramètres peuvent
    contenir soit un nombre, soit max pour indiquer au
    serveur que la limite de consommation correspond à la valeur
    maximale autorisée par la configuration du système d'exploitation.
    Pour augmenter la consommation maximale de ressources, le serveur
    doit s'exécuter en tant que root, ou se trouver dans sa
    phase de démarrage.
Cette directive s'applique aux processus initiés par les processus enfants d'Apache httpd qui traitent les requêtes, et non aux processus enfants eux-mêmes. Sont concernés les scripts CGI et les commandes exec des SSI, mais en aucun cas les processus initiés par le processus parent d'Apache httpd comme les journalisations redirigées vers un programme.
Les limites de ressources CPU sont exprimées en secondes par processus.
Prend 1 ou 2 paramètres. Le premier definit la limite de
    consommation de ressources pour tous les processus, et le second la
    consommation de ressources maximale. Les deux paramètres peuvent
    contenir soit un nombre, soit max pour indiquer au
    serveur que la limite de consommation correspond à la valeur
    maximale autorisée par la configuration du système d'exploitation.
    Pour augmenter la consommation maximale de ressources, le serveur
    doit s'exécuter en tant que root, ou se trouver dans sa
    phase de démarrage.
Cette directive s'applique aux processus initiés par les processus enfants d'Apache httpd qui traitent les requêtes, et non aux processus enfants eux-mêmes. Sont concernés les scripts CGI et les commandes exec des SSI, mais en aucun cas les processus initiés par le processus parent d'Apache httpd comme les journalisations redirigées vers un programme.
Les limites de ressources mémoire sont exprimées en octets par processus.
Prend 1 ou 2 paramètres. Le premier definit la limite de
    consommation de ressources pour tous les processus, et le second la
    consommation de ressources maximale. Les deux paramètres peuvent
    contenir soit un nombre, soit max pour indiquer au
    serveur que la limite de consommation correspond à la valeur
    maximale autorisée par la configuration du système d'exploitation.
    Pour augmenter la consommation maximale de ressources, le serveur
    doit s'exécuter en tant que root, ou se trouver dans sa
    phase de démarrage.
Cette directive s'applique aux processus initiés par les processus enfants d'Apache httpd qui traitent les requêtes, et non aux processus enfants eux-mêmes. Sont concernés les scripts CGI et les commandes exec des SSI, mais en aucun cas les processus initiés par le processus parent d'Apache httpd comme les journalisations redirigées vers un programme.
Les limites des processus contrôlent le nombre de processus par utilisateur.
Si les processus CGI s'exécutent sous le même
      utilisateur que celui du serveur web, cette
      directive va limiter le nombre de processus que le serveur
      pourra lui-même créer. La présence de messages
      cannot fork dans le journal des
      erreurs indiquera que la limite est atteinte.
Cette directive permet de contrôler la méthode qu'utilise Apache
    httpd pour trouver l'interpréteur destiné à exécuter les scripts CGI. La
    définition par défaut est Script : ceci indique à
    Apache httpd qu'il doit utiliser l'interpréteur précisé dans la ligne
    shebang du script (la première ligne, commençant par
    #!). Sur les systèmes Win32, cette ligne ressemble
    souvent à ceci :
ou simplement, dans le cas où perl est dans le
    PATH :
Avec ScriptInterpreterSource Registry, Windows va
    effectuer une recherche dans l'arborescence
    HKEY_CLASSES_ROOT de la base de registre avec comme
    mot-clé l'extension du fichier contenant le script (par exemple
    .pl). C'est la commande définie par la sous-clé de
    registre Shell\ExecCGI\Command ou, si elle n'existe
    pas, la sous-clé Shell\Open\Command qui est utilisée
    pour ouvrir le fichier du script. Si ces clés de registre ne sont
    pas trouvées, Apache httpd utilise la méthode de l'option
    Script.
Soyez prudent si vous utilisez ScriptInterpreterSource
    Registry avec des répertoires faisant l'objet d'un Registry peut causer des appels de
    programmes non voulus sur des fichiers non destinés à être exécutés.
    Par exemple, la commande par défaut open sur les fichiers
    .htm sur la plupart des systèmes Windows va lancer
    Microsoft Internet Explorer ; ainsi, toute requête HTTP pour un
    fichier .htm situé dans le répertoire des scripts
    va lancer le navigateur en arrière-plan sur le serveur, ce qui a
    toutes les chances de crasher votre système dans les minutes qui
    suivent.
L'option Registry-Strict, apparue avec la version
    2.0 du serveur HTTP Apache,
    agit de manière identique à Registry, mais n'utilise
    que la sous-clé Shell\ExecCGI\Command. La présence de
    la clé ExecCGI n'étant pas systématique, Elle doit être
    définie manuellement dans le registre Windows et évite ainsi tout
    appel de programme accidentel sur votre système.
Avec ExtendedStatus On, mod_status affiche la
    véritable requête en cours de traitement. Pour des raisons
    historiques, seuls 63 caractères de la requête sont réellement
    stockés à des fins d'affichage. Cette directive permet de déterminer
    si ce sont les 63 premiers caractères qui seront stockés (c'est le
    comportement par défaut),
    ou si ce sont les 63 derniers. Ceci ne s'applique bien entendu que
    si la taille de la requête est de 64 caractères ou plus.
Si Apache httpd traite la requête GET /disque1/stockage/apache/htdocs/images/rep-images1/nourriture/pommes.jpg HTTP/1.1
    , l'affichage de la requête par mod_status se présentera comme suit :
    
| Off (défaut) | GET /disque1/stockage/apache/htdocs/images/rep-images1/nourritu | 
|---|---|
| On | apache/htdocs/images/rep-images1/nourriture/pommes.jpg HTTP/1.1 | 
La directive httpd
    ne reconnait pas l'argument fourni comme une URL, il suppose que
    c'est une adresse électronique, et lui ajoute le préfixe
    mailto: dans les cibles des hyperliens. Il est
    cependant recommandé d'utiliser exclusivement une adresse
    électronique, car de nombreux scripts CGI considèrent ceci comme
    implicite. Si vous utilisez une URL, elle doit pointer vers un autre
    serveur que vous contrôlez. Dans le cas contraire, les utilisateurs
    seraient dans l'impossibilité de vous contacter en cas de problème.
Il peut s'avérer utile de définir une adresse dédiée à l'administration du serveur, par exemple :
car les utilisateurs ne mentionnent pas systématiquement le serveur dont ils parlent !
La directive 
La recherche du serveur virtuel à base de nom correspondant au
    plus près à la requête s'effectue selon l'ordre d'apparition des
    directives 
Tous les noms spécifiés au sein d'une section
    
La directive 
La directive 
Cette directive est aussi utilisée lors de la création d'URLs de
    redirection relatives quand la directive
    
Par exemple, si le nom de la
    machine hébergeant le serveur web est
    simple.example.com, la machine possède l'alias
    DNS www.example.com, et si vous voulez que le serveur
    web s'identifie avec cet alias, vous devez utilisez la définition
    suivante :
La directive 
Si la directive 
Si la directive
    
Si vous définissez des serveurs virtuels à base de
    nom, une directive Host: pour
    pouvoir atteindre ce serveur virtuel.
Parfois, le serveur s'exécute en amont d'un dispositif qui
    implémente SSL, comme un mandataire inverse, un répartiteur de
    charge ou un boîtier dédié SSL. Dans ce cas, spécifiez le protocole
    https:// et le port auquel les clients se connectent
    dans la directive 
Voir la description des directives 
Si la valeur de la directive httpd va alors utiliser le
    résultat de la commande système hostname pour
    déterminer le nom du serveur, ce qui ne correspondra pratiquement
    jamais au nom de serveur que vous souhaitez réellement.
La directive 
La directive conf/ et
    logs/. Les chemins relatifs indiqués dans les autres
    directives (comme 
La valeur par défaut de --prefix de la commande configure, et de
    nombreuses distributions tierces du serveur proposent une valeur
    différente de celles listées ci-dessus.
-d
    options de httpdLa directive 
La valeur par défaut Off supprime la ligne de pied
    de page (et est ainsi compatible avec le comportement des
    versions 1.2 et antérieures d'Apache). la valeur On
    ajoute simplement une ligne contenant le numéro de version du
    serveur ainsi que le nom du serveur virtuel issu de la directive
    EMail ajoute en plus une référence "mailto:" à
    l'administrateur du document référencé issu la directive
    
Après la version 2.0.44, les détails à propos du numéro de
    version du serveur sont contrôlés à l'aide de la directive
    
Server de la réponse
HTTPCette directive permet de contrôler le contenu de l'en-tête
    Server inclus dans la réponse envoyée au client : cet
    en-tête peut contenir le type de système d'exploitation du serveur,
    ainsi que des informations à propos des modules compilés avec le
    serveur.
ServerTokens Full (ou non spécifié)Server: Apache/2.4.2
	(Unix) PHP/4.2.2 MyMod/1.2ServerTokens Prod[uctOnly]Server:
      ApacheServerTokens MajorServer:
      Apache/2ServerTokens MinorServer:
      Apache/2.4ServerTokens Min[imal]Server:
      Apache/2.4.2ServerTokens OSServer:
      Apache/2.4.2 (Unix)Cette définition s'applique à l'ensemble du serveur et ne peut être activée ou désactivée pour tel ou tel serveur virtuel.
Dans les versions postérieures à 2.0.44, cette directive contrôle
    aussi les informations fournies par la directive 
minimal n'est pas
    recommandé car le débogage des problèmes
    interopérationnels n'en sera alors que plus difficile. Notez
    aussi que la désactivation de l'en-tête Server:
    n'améliore en rien la sécurité de votre
    serveur ; le concept de "sécurité par
    l'obscurité" est un mythe et conduit à
    une mauvaise perception de ce qu'est la sécurité.Lorsqu'elle se situe à l'intérieur d'un fichier
    .htaccess, ou d'une section .htaccess de ce répertoire :
Autre exemple : si vous voulez que le serveur affiche un
    compte-rendu d'état chaque fois qu'une URL du type http://nom
    serveur/status est appelée, vous pouvez ajouter ceci dans
    httpd.conf :
Vous pouvez aussi utiliser cette directive pour associer un gestionnaire à des fichiers possèdant une extension de nom de fichier particulière. Par exemple :
On peut utiliser des expressions ayant pour valeur des chaînes pour référencer des variables spécifiques à une requête, y compris les références arrières vers des expressions rationnelles nommées :
Vous pouvez écraser la définition antérieure d'une directive
    None.
Comme 
La directive 
Si la directive comporte plusieurs filtres, ils doivent être séparés par des points-virgules, et spécifiés selon l'ordre dans lequel vous souhaitez les voir agir sur les contenus.
La directive 
Par exemple, la configuration suivante va traiter tous les
    fichiers du répertoire /www/data/ comme des inclusions
    côté serveur (SSI) :
Si la directive comporte plusieurs filtres, ils doivent être séparés par des points-virgules, et spécifiés selon l'ordre dans lequel vous souhaitez les voir agir sur les contenus.
La directive 
Lors de la lecture de données en provenance du client, le temps maximum jusqu'à l'arrivée d'un paquet TCP si le tampon est vide.
Pour les données initiales d'une nouvelle connexion, et tant qu'une
      directive 
TRACECette directive l'emporte sur le comportement de
    TRACE pour le noyau du serveur et
    TraceEnable on permet des requêtes TRACE
    selon la RFC 2616, qui interdit d'ajouter tout corps à la requête.
    La définition TraceEnable off indique au noyau du
    serveur et à 405 (Méthode non autorisée) au client.
En fait, et à des fins de test et de diagnostic seulement, on
    peut autoriser l'ajout d'un corps de requête à l'aide de la
    définition non standard TraceEnable extended. Le noyau
    du serveur (dans le cas d'un serveur d'origine) va limiter la taille
    du corps de requête à 64Kb (plus 8Kb pour les en-têtes de
    fractionnement si Transfer-Encoding: chunked est
    utilisé). Le noyau du serveur va reproduire l'ensemble des en-têtes,
    y compris les en-têtes de fractionnement avec le corps de la
    réponse. Dans le cas d'un serveur mandataire, la taille du corps de
    requête n'est pas limitée à 64Kb.
Bien que certains prétendent le contraire, activer la méthode
    TRACE ne constitue pas un problème de sécurité dans Apache
    httpd. La méthode TRACE est définie par la spécification
    HTTP/1.1 et les différentes implémentations sont censées la supporter.
Annule l'effet d'une directive -D de
    
On peut utiliser cette directive pour inverser l'effet d'une
    section -D dans les scripts
    de démarrage.
Si cette directive est définie au sein d'un bloc VirtualHost, les changements qu'elle induit sont visibles de toute directive ultérieure, au delà de tout bloc VirtualHost.
Dans de nombreuses situations, Apache httpd doit construire une URL
    auto-identifiante -- c'est à dire une URL qui fait
    référence au serveur lui-même. Avec UseCanonicalName
    On, Apache httpd va utiliser le nom d'hôte et le port spécifiés par
    la directive SERVER_NAME et SERVER_PORT dans les
    programmes CGI.
Avec UseCanonicalName Off, Apache httpd va construire ses
    URLs auto-identifiantes à l'aide du nom d'hôte et du port fournis
    par le client, si ce dernier en a fourni un (dans la négative,
    Apache utilisera le nom canonique, de la même manière que
    ci-dessus). Ces valeurs sont les mêmes que celles qui sont utilisées
    pour implémenter les serveurs virtuels à base de
    nom, et sont disponibles avec les mêmes clients. De même, les
    variables CGI SERVER_NAME et SERVER_PORT
    seront affectées des valeurs fournies par le client.
Cette directive peut s'avérer utile, par exemple, sur un serveur
    intranet auquel les utilisateurs se connectent en utilisant des noms
    courts tels que www. Si les utilisateurs tapent un nom
    court suivi d'une URL qui fait référence à un répertoire, comme
    http://www/splat, sans le slash terminal, vous
    remarquerez qu'Apache httpd va les rediriger vers
    http://www.example.com/splat/. Si vous avez activé
    l'authentification, ceci va obliger l'utilisateur à s'authentifier
    deux fois (une première fois pour www et une seconde
    fois pour www.example.com -- voir la
    foire aux questions sur ce sujet pour plus d'informations).
    Par contre, si Off, Apache httpd redirigera l'utilisateur vers
    http://www/splat/.
Pour l'hébergement virtuel en masse à base d'adresse IP, on
    utilise une troisième option, UseCanonicalName
    DNS, pour supporter les clients anciens qui ne
    fournissent pas d'en-tête Host:. Apache httpd effectue alors
    une recherche DNS inverse sur l'adresse IP du serveur auquel le
    client s'est connecté afin de construire ses URLs
    auto-identifiantes.
Les programmes CGI risquent d'être perturbés par cette option
    s'ils tiennent compte de la variable SERVER_NAME. Le
    client est pratiquement libre de fournir la valeur qu'il veut comme
    nom d'hôte. Mais si le programme CGI n'utilise
    SERVER_NAME que pour construire des URLs
    auto-identifiantes, il ne devrait pas y avoir de problème.
Dans de nombreuses situations, Apache httpd doit construire une URL
    auto-identifiante -- c'est à dire une URL qui fait
    référence au serveur lui-même. Avec UseCanonicalPhysicalPort
    On, Apache httpd va fournir le numéro de port physique réel utilisé
    par la requête en tant que port potentiel, pour construire le port
    canonique afin que le serveur puisse alimenter la directive
    UseCanonicalPhysicalPort Off, Apache httpd n'utilisera pas le
    numéro de port physique réel, mais au contraire se référera aux
    informations de configuration pour construire un numéro de port
    valide.
L'ordre dans lequel s'effectue la recherche quand on utilise le port physique est le suivant :
UseCanonicalName OnUseCanonicalName Off | DNSHost:Avec UseCanonicalPhysicalPort Off, on reprend
    l'ordre ci-dessus en supprimant "Port physique".
Les balises </VirtualHost> permettent de rassembler un groupe
    de directives qui ne s'appliquent qu'à un serveur virtuel
    particulier. Toute directive autorisée dans un contexte de serveur
    virtuel peut être utilisée. Lorsque le serveur reçoit un requête
    pour un document hébergé par un serveur virtuel particulier, il
    applique les directives de configuration rassemblées dans la section
    
*, qui agit comme un
      caractère générique, et correspond à toute adresse IP._default_, dont la signification est
      identique à celle du caractère *Les adresses IPv6 doivent être entourées de crochets car dans le cas contraire, un éventuel port optionnel ne pourrait pas être déterminé. Voici un exemple de serveur virtuel avec adresse IPv6 :
Chaque serveur virtuel doit correspondre à une adresse IP, un
    port ou un nom d'hôte spécifique ; dans le premier cas, le serveur
    doit être configuré pour recevoir les paquets IP de plusieurs
    adresses (si le serveur n'a qu'une interface réseau, on peut
    utiliser à cet effet la commande ifconfig alias -- si
    votre système d'exploitation le permet).
L'utilisation de la directive 
Tout bloc 
A l'arrivée d'une requête, le serveur tente de la
    faire prendre en compte par la section 
Si plusieurs serveurs virtuels correspondent du point de vue de l'adresse IP/port, le serveur sélectionne celui qui correspond le mieux du point de vue du nom d'hôte de la requête. Si aucune correspondance du point de vue du nom d'hôte n'est trouvée, c'est le premier serveur virtuel dont l'adresse IP/port correspond qui sera utilisé. Par voie de conséquence, le premier serveur virtuel comportant une certaine paire adresse IP/port est le serveur virtuel par défaut pour cette paire adresse IP/port.
Voir le document sur les conseils à propos de sécurité pour une description détaillée des raisons pour lesquelles la sécurité de votre serveur pourrait être compromise, si le répertoire contenant les fichiers journaux est inscriptible par tout autre utilisateur que celui qui démarre le serveur.
Normalement, les méthodes HTTP non conformes aux RFCs correspondantes
sont rejetées au cours du traitement de la requête par HTTPD. Pour
éviter ceci, les modules peuvent enregistrer les méthodes HTTP non
standards qu'ils supportent. La directive
Cette directive permet de signaler la détection d'un problème de configuration en générant un message d'avertissement personnalisable. L'interprétation du fichier de configuration n'est pas interrompue. Un exemple typique d'utilisation est la vérification de la définition de certaines options définies par l'utilisateur, et l'envoi d'un avertissement éventuel.
Cette directive permet de contrôler la fusion des données HTTP supplémentaires (trailers) avec la représentation interne des en-têtes. Cette fusion intervient lorsque le corps de la requête a été entièrement reçu, bien longtemps après que la majeure partie du traitement des en-têtes ait une chance de pouvoir examiner ou modifier les en-têtes de la requête.
Cette option a été introduite dans un souci de compatibilité avec les versions antérieures à 2.4.11, où les données supplémentaires étaient systématiquement fusionnées avec les en-têtes de la requête.
Cette directive permet de s'assurer que le serveur vérifiera que
    la variable d'environnement REDIRECT_URL est bien pleinement
    qualifiée. Par défaut, cette variable contient l'URL textuellement
    demandée par le client, par exemple "/index.html". Avec 
Même si cette directive n'est pas définie, lorsqu'une requête est soumise avec une URL pleinement qualifiée, la variable REDIRECT_URL contiendra quand-même une URL pleinement qualifiée.